correction
Ici je tente de commenter mon texte, d'en faire l'auto critique en tant que personne tierce et un peu... ;) (les commentaires sont entre crochets) :
Encore quelques mètres... ca y est... A cet instant un nuage, ayant
probablement le sens du théatre [autant qu'un nuage peut l'avoir sans doute], découvre le soleil qui illumine la
vallée en contre-bas. Je peux voir sur ma gauche la cascade à l'origine
de la rivière serpentant entre les aspérités du terrain, cascade qui
tout de suite donne le vertige[ouh, je défaille]. La source jaillit on ne sait trop où
d'une infractuosité du rocher[ bref, elle jaillit] puis chute à pic plusieurs dizaines de
mètre avant de rencontrer une masse de rochers granitiques [ vous êtes géologue? moi non.). La chute se
perd ensuite sous un chaos rocheux[rocher, rochers, rocheux...bref...] puis réapparait plus loin dans la
vallée. Celle-ci est entouré de pics sournois[???], à l'air retord[et on en remet une couche], qui
semble la garder prisonnière[là, ça dégouline...]; mais elle se contente de cette rivière[heureusement!] qui
la traverse et alimentent même un petit lac[c'est inouï] au point le plus bas de
celle-ci. Le reste de la vallée est constituée de prairies verdoyantes
où paissent allègrement [vous leur avez demandé?] quelques chèvres. Mais déja le soleil se
couche, ce n'est que le début du printemps, le berger s'endort, sa
vieille pipe au bec[vous connaissez les méfaits du tabacs?], bercé par le vent descendant lentement les pentes
enneigées[des pics sournois à l'air retord qui garde la vallée prisonnière..moralité].